Conclusion

Il est clair que les dispersions et la démolition de la pagode japonaise et de la salle chinoise ont privé la maison d'ensembles extraordinaires. Les esquisses de restitutions parfois très lacunaires s'inscrivent dans la volonté de redonner vie à ces espaces, notamment pour les deux ensembles extrême-orientaux.

Une salle n'a pas été évoquée la « chambre espagnole » située au-dessus de la salle gothique comme une excroissance néo-basque qui a été totalement anéantie et pour laquelle aucun document de la décoration intérieure ne subsiste. C'est dommage car elle a hébergé les gloires du temps, reines déchues ou reines de théâtre, reçues par Loti.

 

Une fois ces restitutions et évocations menées à bien, gageons que le lieu aura retrouvé en partie la dimension de « maison monde » que l'écrivain avait réalisée avec tant de passion.