Les croix Jeannette, tout comme les cœurs qui servent de coulant et qui les accompagnent deviennent très nombreux à partir de 1840.

Tout comme les agrafes de mantes, les cœurs et les croix sont formés de demies moitiés assemblées.
Ces dernières sont obtenues à l’aide de matrices : des blocs d'acier ne dépassant pas la dimension de la paume de la main, finement gravés en creux et possédant parfois une contre-partie (partie mâle) ou positif d'acier ou de cuivre.

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